jeudi 13 octobre 2011

Le mystère niçois

Munch  la nuit à Nice
Après la visite de la merveilleuse exposition que le Centre Pompidou consacre à Edvard Munch, deux réflexions :
       1) Un quart d’heure de queue dehors, un quart d’heure de queue dedans (jusqu’à la machine à tickets), une bonne demi-heure de queue en haut (avant de pouvoir entrer dans l’expo)...
                    ...bon d’accord, c’est Dimanche et il pleut, mais RRRAAAHHH ..il ne reste plus beaucoup de temps pour regarder les tableaux, et bien sûr, la queue continue DEDANS et devant chaque oeuvre.       
        Pendant ce temps, les foules qui se régalent (?) là où on leur dit de se régaler désertent les expositions de peintres vivants (contemporains) si on ne leur a rien dit. Le plaisir que peut apporter l’art ne demande-t’il pas un minimum de jugement personnel ? Applaudissez, c’est BEAU, on vous dit. Indignez-vous, c’est pas bien...Mais quel est l’intérêt d’aller voir des  tableaux si vous n’êtes pas profondément, personnellement émus par ceux-ci ? Une reproduction suffirait, pour la “Culture”...mais il faut vendre des crayons  et petits carnets ornés du “Cri” !
    2) Chaque fois que je vais à Nice, et que j’admire la vue du 4è étage de la maison de ma belle-mère, je repense au tableau “la nuit à Nice” (1891), dont on dirait qu’il a été peint sur la terrasse de l’avenue Marie-Christine...(impossible, car la maison n’était pas encore construite en 1891).  Après une petite recherche sérieuse, j’ai appris que Munch habitait à l’époque 53 rue de France..Déception !    Je continuerai quand même à rêver au Grand Maître...
toits de Nice 2005



vendredi 30 septembre 2011

Arbres et ciels

Ce qui m’a intéressée jusqu’à présent dans l’arbre, (comme dans le paysage en général, d’ailleurs) c’est l’air...qui circule autour. Principalement dans ce tableau là : tenter de traduire la douceur joyeuse du mois de Mai provençal. Mais  peindre le tilleul (mon premier), le platane, le pin et le cerisier (en train) m’a donné l’envie d’approfondir la personnalité de chacun d’entre eux, en les peignant du plus loin...au plus près. (feuilles, écorces, fruits...) Une grande série...à suivre !
CCciel
Ma fascination pour le Mont Ventoux et son ciel reste entière.
Voici le n° 22 des “petit
s Ventoux”:





l'arbre rose 536-Ac 55x75 11/2006 - détail


jeudi 31 mars 2011

Féminin quotidien

Une série de natures mortes au pastel, "chaque heure de la journée ordinaire d'une femme "   50 x 50




6 h du mat' 558-P 5Ox50 21/3/2011  

lundi 21 mars 2011

Abstraction

Alain Crouzet

Cela fait longtemps que je connais la peinture d’Alain Crouzet, mais je lui trouve soudain une sensibilité que je n’avais pas perçue jusqu’à maintenant..  Ces” cernes” sont un peu systématiques, certes, mais  la couleur est très travaillée et la composition souvent subtile.Je me suis toujours demandé où commençait l’abstraction, est-ce tout simplement représenter une “image mentale”, mais tous les peintres, lorsqu’ils commencent une toile, ont une image mentale de ce qu’ils veulent faire, laquelle se modifie au fur et à mesure de l’exécution, qu’il y  ait un “modèle” ou qu’il n’y en ait pas...


dimanche 20 mars 2011

Le principe de la série




La couverture du Nouvel An de Télérama: choc !! J’ai l’impression...que c’est une de mes oeuvres...Ah, bien sûr la différence c’est le format : 4m x 3. Néanmoins la curiosité me prend d’aller voir de plus près le travail d’Olivier Masmonteil.


 Donc ce Jeudi 10 Mars je pars en expédition à Arcueil, pour son expo : “Quelle que soit la minute du jour”. Il y a là 2 concepts : gigantisme  et multiplication. Sinon, ce sont des paysages, plus ou moins réussis.













raindrops 300x400
Olivier Masmonteil
        Monet a peut-être été le premier grand “serial painter”, avec ses obsessionnelles meules et autres cathédrales ; la différence, c’est que lorsque Monet faisait une série de meules, c’était pour tenter de saisir toutes les lumières “quelle que soit la minute  du jour”, aussi, mais O.M., lui, ne fait que créer un effet décoratif et follement “moderne”, en juxtaposant à peu près 600 petits paysages, la plupart certainement, d’ailleurs, peints d’après photo .                                  
        Incontestablement, ce n’est pas laid, surtout que cela couvre plusieurs murs peints en noir, les chants des tableaux sont noirs aussi, c’est très chic. Je ne vais pas lui jeter la pierre, car j’ai moi-même usé et abusé du principe de série...Mais quelle époque, où le concept précède l’art, alors que le seul concept vraiment intéressant est juste “peindre”...!Très insuffisant, de toute évidence, en 2011 !



vendredi 18 mars 2011

Louvre,suite...

Le Louvre avec Ondine

Le Dimanche, toutes les salles sont accessibles.Enfin, la peinture française du 18ème, à moi Chardin, Watteau et autres Fragonard ! (sans oublier Raoux, j’adore) Et Joseph Vernet...la magique composition de “la nuit, un port de mer au clair de lune” m’enchante. Ondine adore courir dans les musées (certains gardiens, eux, n’adorent pas !) et jouer à retrouver les tableaux “qui sont sur son livre”. Elle en a retrouvé 16 dans la peinture française, bien, bon oeil ! Quand je lui demande son préféré, elle hésite à choisir le portrait de Mme de Pompadour par Quentin de La Tour (elle sait que j’en fait grand cas !) et finalement, élit “Psyché et l’Amour”..c’est une petite fille romantique !
Quand je ferai un pastel comme ça, je serai contente...
Portrait de Madame de Pompadour          Maurice Quentin de La Tour


dimanche 27 février 2011

Le premier portrait d'Ondine

le premier portrait d'Ondine 








Cela n’a pas été une mince affaire ! La princesse, très enthousiaste au départ, a eu du mal à garder la pose le temps requis..d’où son air contrarié, inhabituel !!
Il faudra que l’artiste soit plus rapide la prochaine fois...

jeudi 24 février 2011

Louvre

portrait d'Adolphine Kobke, soeur de l'artiste Christen Kobke
portrait de la marquise de la Solana
Francisco de Goya


Quel plaisir de retrouver ma comtesse, revoir une vieille amie,toujours aussi merveilleuse...Heureusement qu'elle est là pour me consoler de la fermeture des salles de peinture française XVIIIè, pas de Chardin, grrr, pas de Quentin de La Tour. Il paraît qu'il n'y a pas assez de personnel, d'après les gardiens, mais qu'est ce qui empêche de varier les fermetures...et pas TOUJOURS priver les visiteurs du jeudi des merveilles de notre 18 ème siècle...


Une découverte : le joli portrait (en haut) d'Adolphine Kobke, soeur du peintre, par Christen Kobke, un peintre danois du 19 ème siècle.



Un plaisir toujours renouvelé, les drapés parfaits et les jaunes et bleus de Simon Vouet.
Encore une petite colère, la Vierge du Chancelier Rolin, sublime tableau de Van Eyck, sublime mais très petit, complètement dans l'ombre...Faut-il encore demander des sous au peuple pour éclairer les oeuvres ? Et numéroter lisiblement (et esthétiquement) les salles du Labyrinthe...?

Tout de même, le bonheur, et quelques ampoules aux pieds...



dimanche 20 février 2011

Catalogue

le platane 554 -Ac 25 P 6/11/2010  vendu




          Ca y est ! Mon catalogue "exhaustif" est terminé. Je n'en suis pas encore à "mille et trois",
 mais ça viendra !
Bientôt un lien pour pouvoir le consulter...